Quatre médecins de la région de North Bay en Ontario disent trouver « déraisonnable » le fait que la toute nouvelle maison de soins palliatifs de la région n’offre pas l’aide médicale à mourir. Ils estiment qu’il s’agit d’un service auquel tout Canadien a désormais droit, surtout dans des établissements financés par les fonds publics.
Dans une lettre qu’ils ont envoyée au conseil d’administration de la Maison Sérénité, les Drs Mike Leckie, Paul Preston, Renée Gauthier et John Seguin, qui sont tous prestataires de l’aide médicale à mourir, fondent leur réflexion sur la mesure restrictive de l’établissement de soins palliatifs.