L’élargissement de l’accès à l’aide médicale à mourir (AMM) à certaines personnes devenues inaptes à donner leur consentement serait le bienvenu, estime le Dr Alain Naud, qui pratique les soins palliatifs depuis une trentaine d’années.
Selon La Presse+, le comité d’experts qui s’est penché sur ce dossier recommande au gouvernement du Québec, sous certaines conditions, d’abréger les souffrances des malades qui ont préalablement exprimé leur volonté de recevoir l’aide médicale à mourir, mais qui deviennent par la suite inaptes à exprimer leur consentement, notamment celles atteintes d’alzheimer.