Deux frères combinent l’expertise en soins palliatifs, la linguistique et l’intelligence artificielle pour encourager des conversations plus efficaces entre les médecins et les personnes recevant des soins de fin de vie.
Un après-midi de l’été 2018, Bob Gramling a visité la petite suite qui lui sert de laboratoire dans le sous-sol de la faculté de médecine de l’Université du Vermont. Là, dans une chaise longue grise, une assistante de recherche de premier cycle nommée Brigitte Durieux faisait son travail d’été, écouteurs branchés sur un ordinateur portable. Tout est normal, pensa Bob.