Faudrait-il étendre aux mineurs et aux personnes atteintes de maladie mentale le droit d’obtenir de l’aide médicale pour mettre fin à leurs jours ? Et devrait-on autoriser les citoyens à consentir à l’avance à leur mise à mort ? Le débat reste ouvert, car les trois études sur le sujet commandées par Ottawa dans la foulée de sa loi légalisant l’aide à mourir ne parviennent à aucune conclusion définitive.