Le ministère de la santé a annoncé, lundi 10, qu’il autoriserait, d’ici à quatre mois, les médecins de ville à injecter du midazolam à leurs patients en fin de vie à domicile, pour des sédations profondes et continues jusqu’au décès, dans le cadre d’une décision collégiale.
Une mesure qui nécessite un encadrement éthique effectif.