Pour aider ses proches en cas de drame, il est conseillé d’exprimer le plus formellement possible ses volontés en matière de poursuite des soins médicaux.
C’est une absence qui a largement compliqué les développements de l’affaire Vincent Lambert, qui s’approche de son épilogue. Avant son accident de la route survenu en 2008 et qui l’a plongé dans un état végétatif irréversible, l’infirmier trentenaire n’avait pas énoncé formellement ce qu’il voulait que les médecins fassent pour lui dans le cas où il se retrouverait dans l’incapacité d’exprimer sa volonté.