La perte d’un être cher bouscule ceux qui restent, les amenant ainsi à remanier leurs émotions, leurs représentations, leurs liens au défunt, ce que certains conceptualisent sous le terme de « travail de deuil ». Comment les soignants peuvent-ils participer à cet accompagnement et notamment à la prévention des deuils pathologiques ? Comment peuvent-ils aussi se protéger a minima tout en proposant une relation de soin pleine d’humanité ?