Avec une rapidité assez inhabituelle, la Haute autorité de Santé (HAS) et le ministère ont répondu en quelques semaines à l’alerte lancée par plusieurs syndicats de médecins généralistes.
Nous l’avons déjà évoqué, le ministère de la Santé a après la HAS indiqué cette semaine que les démarches administratives nécessaires allaient être mises en œuvre d’ici quatre mois pour permettre l’accès à ce traitement en médecine de ville.