Face aux risques de contamination, le CHU de Toulouse interdit les visites. En réalité, des exceptions existent dans certains services pour des patients proches de la mort.
C’était un jeune patient atteint d’un cancer du poumon, à qui il ne restait plus que quelques heures à vivre. Le professeur Alain Didier, chef du service de pneumologie au CHU de Toulouse, confesse avoir autorisé sa femme et ses très proches à se rendre, successivement, au chevet du patient. Seuls les enfants, qui étaient trop petits, n’ont pu lui rendre visite.