L’aide médicale à mourir a suscité des craintes, dont celle qu’elle soit demandée par des personnes vulnérables ou par ceux qui n’ont pas accès à des soins palliatifs. Mais une récente étude, qui s’est penchée sur les premiers Ontariens à l’obtenir, suggère que ce n’est pas le cas.
Ses constats offrent des données pouvant alimenter la discussion qui se poursuit sur l’aide médicale à mourir (AMM) et sur l’élargissement des critères d’admissibilité.